Un coup de gueule, une colère, un message…Aux professeurs de Tango, mais pas que.

Cette année je prends enfin la décision de m’inscrire à des cours de tango. Cesser la chance du débutant lors de trop rares milongas. Et c’est mauvais pour l’estime de soi de se justifier être mauvaise, mais bonne quand même, débutante, mais fausse débutante… Bref.

J’aime beaucoup le tango, mais pas les vieux ,ou vieilles mentalités.

Il en va de la responsabilité des profs, qui pourtant, sont parfois jeunes.

Tolérer que les couples à la ville ne dansent qu’entre eux pendant des cours (et donc en soirée), c’est tolérer plusieurs poisons à la danse sociale en général. Toutes.

Les poisons en question :

1° Que danser, c’est tromper ou mettre son couple en péril (vision perverse, d’individus pervers)

2° faire croire qu’on sait danser, alors qu’on ne sait pas danser qu’avec un(e) partenaire unique, à le connaître par coeur.

3° Laisser se couper du plaisir de la surprise, de la connexion coeur à coeur avec l’inconnu(e), sans mentaliser.

etc

Les enseignants dénigrent leur responsabilités.
Trop anxieux à paraître « forts », ou à parfaire une pédagogie basée sur la technique plus que sur les ressentis…

Je ne suis pas professeur,  mais si je l’étais, je renverrai chez eux ou dans l’école concurrente toutes personnes désirant ne danser qu’avec son(sa) conjoint(e). C’est trop puant.

C’est une pollution.

Une fois, j’ai papoté gaiment avec un vieux de 65 ans, visiblement pas assez vieux pour avoir toute sa tête.
Certes, je n’avais pas respecté les codes et l’avais invité moi-même comme je l’aurai fait en salsa, en bachata, ou en kizomba: en allant vers lui, avec un sourire.
Mais par prudence, j’avais fait exprès de l’inviter sur une 3eme musique.
(Pour ceux qui l’ignorent, le tango se danse par série de 3 musiques, entrecoupées d’interlude).
Après une danse très bon enfant et simple, et un blabla de bord de piste joyeux, il m’a fait des réflexions bizarres, me demandant si j’ai mon danseur (wtf?) et à évoqué sa femme de manière grossière, comme s’il m’avait crue gérontophile, en train de le draguer (physiquement on me donne la trentaine, je précise: il pouvait être mon père) .
C’est juste hallucinant, consternant, affligeant, répugnant.
J’ai été si choquée après coup que j’en ai fait 3 jours de laryngite, puis bronchite, puis rhinite. Ca ne passait pas.

Les papys de 70-80 ans, eux, ils savent qu’ils n’ont aucune chance, que c’est cadeau, une jeune jolie danseuse qui sourit, ils s’excusent tous d’un « si tu n’as pas compris, c’est que j’ai mal guidé », ils ne se posent pas la question, ils ne sont pas « tordus ». Ils sont heureux de danser, et ne se font aucun film. Ils savent que danser, c’est joyeux, d’abord joyeux.

Toutes ces conneries humaines poussent à devenir élitiste et arrogant et refouler les gens.
Genre ‘ah ben si c’est ça, je prends des cours particuliers, et je réseaute pour ne danser qu’avec des pros, et allez tous vous faire foutre’. Putain de bordel de merde.

C’est débile.
Les pros sont débiles aussi.

Ils donnent des cours, mais n’enseignent pas la partie « sociale ».
C’est débile, c’est débile, c’est débile.

Je suis lasse des gens débiles, qui gâchent une manne de joie, et cotérisent quelque chose qui devrait se répandre.

Progresser en clairvoyance via l’écriture

Aide de Lucie Diez via ses newsletters.
Ici c’est la 2nde d’une série de 21 pour trouver sa mission de vie.

J’ai déclenché le déblocage du blabla-clavier ces derniers jours, et Ô synchronicité, je reçois et tilt sur des lectures qui vont en ce sens. Aussi décide-je de compiler l’aide des unes et des autres, et de répondre ici à ses questions.
Selon les gens et le support, j’écris dans un carnet dédié, toujours est-il qu’ici ce sera clavier.

« Plus on écrit, et plus on a envie d’écrire. On continue aujourd’hui avec cette question : 

  • Qu’est-ce qui te motive ?

Qu’est-ce qui te donne envie de te réveiller le matin ? Qu’est-ce qui te pousse à faire les choses ? Quels sont tes moteurs ? Pour quel projet serais-tu prêt à faire des efforts, même sans rémunération ? Quels éléments te redonnent de l’énergie quand tu es fatigué ?

Repasse-toi le film de chacune de tes expériences passées : école, université, loisirs, job d’été, vacances, travail, associations, évènements, famille, couple … Pour chaque expérience, note les éléments qui t’ont motivés à réaliser ces projets.« 

Ok Lucie. Voyons ce que cela donne.

Ce qui me motive à me lever le matin : avoir bien dormi et suffisamment, être heureuse de ma propre nuit, voire de mes rêves. Et une petite séance reiki & pensée positive ou en général me viennent 3 mots, comme par exemple « joie amour expansion ».

Ce qui me pousse à faire des choses : la perspective d’éprouver de la joie, et donc d’une certaine manière, de m’amuser. Danser chanter, même. Jubiler de rien ou sans vraiment savoir forcément pourquoi.

Mes moteurs : Bien être, liberté, réjouissement, insouciance, joie, quiétude… Travailler et planifier des choses qui serviront ces notions, ces états d’être, ces états de faits.

Les projets pour lesquels je serai prête à faire des efforts, même sans rémunération sont ceux qui stimulent, apportent joie, satisfaction, entrain, tel un cercle vertueux. Ce sont des projets conjoints aux valeurs évoquées, les servants.
Joie, bien être épanouissement, plénitude, expansion, développement, échange…
Oeuvrer sans rémunération est tout à fait envisageable entourée de personnes qui me conviennent parfaitement, en cohérence avec mes propres valeurs et aspirations.

Les éléments qui me redonnent de l’énergie même quand je suis fatiguée est résolument la musique, générant mouvement, danse, ou relaxation; et particulièrement les danses sociales, le relationnel, le rapport à l’autre de manière joyeuse et ludique, l’échange d’énergies faisant se sentir pleinement en vie.

Le film de mes expériences passées…
– Pour les expériences professionnelles : des jobs vraiment alimentaires parfois choisis pour leur lien au divertissement et loisir, pour l’argent tout de même. J’ai fait ds études d’art et ne voulais pas l’aborder ni le vivre de manière mercantile. Toujours pour rester libre et intègre.
– Mes études aux Beaux Arts, ont été choisies et vécues pour être en lien le plus possible avec qui je suis (art, créativité, inviter le spectateur à la réflexion personnelle) tout en prenant soin de disparaître derrière mon travail; il a été pensé comme puissant et autonome sans connaissance de son auteur. Pour pouvoir recevoir l’essence du message, alors il fallait que l’auteur et son identité disparaissent pour éviter l’égarement du jugement (« ah c’est une femme qui a fait ça, c’est bien un truc de fille! » ou autre dénigrement négatifs, etc). Trouver une pertinence suffisamment puissante et conséquente sans impliquer mon identité était primordial, comme pour approcher une vérité au plus près, quelque chose d’universel, et me rendre ainsi inattaquable en quelque sorte.- dans le milieu associatif, j’ai travaillé gratuitement dans le but de vivre de belles choses… en fait probablement trop par procuration, pour de mauvaises raisons, et mal entourée, en me dénigrant. Je travaille encore sur ça, sur le pardon, l’estime de Soi, etc
– en famille, je ne saurai dire si je ne me suis pas comportée d’abord pour autrui plutôt que pour moi, à juste « être et faire ce qu’il fallait ». Je l’ignore, j’ignore si j’ai bon discernement sur ce point.
– en couple… je n’ai quasiment jamais été assez longtemps en véritable situation de couple pour pouvoir témoigner, tant le vécu est succinct, voir plus douloureux qu’heureux. Donc autant dire que je n’avais « aucune motivation pour ce projet-là » autre que des exigences bloquant toute énergie de rencontre-même, et des attentes que j’ai même transmutées en sagesse philosophe « c’est que ce n’était pas le moment », « ça viendra », etc, qu’aujourd’hui je vois différemment et tend à changer cela.
– les voyages : quasiment tous ont été impulsés et réalisés grâce à l’impulsion d’une personne, une invitation, une opportunité. Ma motivation réelle n’a été que d’accepter une invitation en quelque sorte. Je ne sais pas si c’est très positif en soi (où est ma motivation, dans la simple acceptation d’une opportunité?)
– les loisirs : les danses sociales (le mambo ma préférée) tout me motive : les bons plans, trucs et astuces, élaborer des calendrier, anticiper, créer des listes, envisager le nomadisme avec plaisir, jusque dans les détails d’une valise heureuse et pratique.
Pour les danses, ma motivation est assez à son apogée, ma joie au top; il est question avec ce loisirs-plaisir du sens-même de la vie !!
Cela questionne d’ailleurs beaucoup, et pas que moi, tous les passionnés également que cela bouleverse dans leur vie en général.

En fait, à toutes les questions posées, je pourrai répondre que ce qui me motive à me lever le matin est danser, ce qui me pousse à faire des choses est de mettre des choses en place pour pouvoir aller danser, que ce que je pourrai faire gratuitement sans rémunération est danser, mes moteurs sont les musiques et les danses, et ce qui me donne de l’énergie quand je n’en ai plus est encore danser !
Pourtant je n’ai connu tout cela en conscience qu’en 2012, et ado j’étais plus en cours de karaté qu’en cours de danse. Comme quoi tout arrive, se réveille en temps voulu…

Gratitude Marjorie, Gratitude Lyvia, Gratitude Lucie, et tout autres, qui me tendez de bienveillantes lampes torches éclairant mon chemin, me permettant d’avancer pas à pas davantage en conscience qu’à tâtons.

 

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Là où point la lumière…

Alors le défi de 15 jours de Marjorie « Défi 6e sens », le voici !  Génial.
La compilation des lectures, prises de notes, et petits jeux me font avancer l’air de rien ! (et gratuitement! Gratitude!)

Il faut répondre en commentaire directement, donc ça va plus vite que de prendre des notes sur cahier et « faire des exercices »! Simple rapide efficace !        Voici :

DÉFI 6e Sens – Présentation

Je suis ravie de vous présenter le Défi 6e Sens : 15 jours pour développer votre intuition dans votre vie professionnelle qui va commencer bientôt le 24/04.

 

DÉFI 6e Sens – JOUR 0

Vu votre enthousiasme à démarrer, je vous ai préparé un exercice préparatoire avant le Défi qui commence lundi prochain ! Partagez ce qui vous retient, vous freine ou vous fait peur d’utiliser votre intuition. Partagez-moi votre réponse ci-dessous.

Ma réponse_ Idem! Peur de tout confondre! On me dit ultra intuitive, or j’ai un mental encore plus balaise, si rapide qu’il se fait passer pour le cœur et l’intuition (dans tous les domaines).
J’ai déjà perdu bcp d’années et d’argent (et aussi la santé) investi dans des formations pas du tout pour moi à cause de ça (et à cause du fait d’avoir des compétences diverses!).
Le domaine professionnel étant « sérieux », engageant, la raison veut probablement vérifier et rationaliser systématiquement…
Impression que plus j’exploite l’intuition, plus je suis pétocharde, peur de me tromper, de galvauder mes sensations, de me perdre en « il faut… » ou en « oui c’est forcément ça, donc il faut… » pour finir par me tromper complètement de voie.
Merci pour ce défi qui répond carrément à un SOS général.

DÉFI 6e Sens – JOUR 1

Et voilà c’est parti pour le 1er jour du défi ! Pendant 15 jours, je vais vous proposer des actions qui vous aideront à découvrir et apprivoiser votre 6e sens.
Aujourd’hui nous reprenons les bases et on fait le point sur l’intuition.
Mettez-moi vos réponses dans les commentaires ci-dessous.

Ma réponse_ Pour moi l’intuition est aussi rapide et furtive qu’un parfum humé. C’est pour cela que l’on peut dire « je ne sais pas pourquoi, je ne sens pas cette personne » par exemple. Puis quand on tente de mettre des mots pour la définir ou l’expliquer, on croit porter un jugement, or non, c’est un constat, un descriptif, il ne faut pas laisser le mental faire marche arrière, et « raisonner » suite à cette intuition.
Dans ma vie pro, il y a quelques années, j’ai accepté un poste de chargée de communication à temps partiel dans un centre de danse; à priori super, car dans un cadre culturel&loisirs. Dès l’entretien en présence : sensation d’être en face de monstres, de vampires a crocs salivants. Mais la raison a voulu que j’accepte cette opportunité (le « il faut »). En à peine quelques semaines je côtoyais les urgences, déposée par les pompiers, des suites de pertes de connaissances et/ou migraine foudroyante pour cause de harcèlement moral.
L’intuition semble être plus efficace et plus claire pour ce qui ne nous convient pas, que pour ce qui nous convient? Je ne sais pas… Cela fait une éternité que je recherche ce qu’il me faut et ne trouve pas, parasitée par les analyses du mental.

DÉFI 6e Sens – JOUR 2

Aujourd’hui on parle des synchronicités, autre manifestation d’un 6e sens ouvert et réceptif. J’ai hâte de lire vos expériences dans les commentaires ci-dessous.

Ma réponse_ Je cherche… je ne trouve pas d’exemple édifiant. J’ai même foiré un bilan de compétences en me payant de couteuses formations pour un métier où j’avais du talent mais que je détestais.
A part lire des post ici, indiquant que reprendre un job alimentaire « que pour l’argent » n’est pas la chose à faire, alors que je songeais refaire un CV et me forcer à postuler.
Il m’arrive même parfois d’avoir « des bâtons dans les roues » bien qu’étant vraisemblablement dans la bonne voie, c’est-à-dire dans un loisirs qui me remplit de joie, me nourrit, me fait sentir vivante au point de me demander si c’est une ressource, ou une direction professionnelle à explorer.
Suite à des épreuves (humaines) par le passé, j’ai même été capable de tout remettre en question (abandonner, quitter, m’éloigner de ce que j’aimais le plus, perdre le goût de vivre, si cela permettait de rester en vie quand même face aux attaques / c’est pour cela que ce profil est très anonyme d’ailleurs).
Il y a qques mois, une amie m’a donné 2 couteuses paires de chaussures de danse en bon état qui ne lui allaient plus : là, je me suis dit que c’était peut-être un signe de continuer sans me ruiner; mais est-ce cela, une synchronicité, je ne sais pas vraiment (je n’ai ni niveau ni de quoi enseigner les danses…)

Marjorie répond une synchronicité, c’est quand tu te poses une question à l’intérieur et que la réponse vient sous forme d’un signe de l’extérieur.

 

Ma réponse_ Merci ! alors j’ai du en avoir, mais de minuscules, anecdotiques, non mémorisées, et je pense aussi que je ne sais pas demander/ poser de questions…

 

DÉFI 6e Sens – JOUR 3

Le 6e sens est un don naturel. Tout comme les talents naturels. Et vous ? Connaissez-vous vos talents ? Ils sont au cœur d’une vie professionnelle vécue en conscience.
Partagez vos réponses dans commentaires ci-dessous.

Ma réponse_ Je suis surref’ avec syndrome de l’imposteur, multipotentielle paumée. Avec une empathie qui me pousse à m’isoler aussi. J’excelle pour papoter, écrire, raconter des histoires, positiver, trouver des solutions, diffuser trucs et astuces comme Huggy-les-Bons-Tuyaux avant même qu’on me le demande. Il m’arrive de faire facilement rire alors que je ne suis pas comédienne ni comique. Une passoire qui donne toutes ses billes.

 

DÉFI 6e Sens – JOUR 4

Pour vivre une vie professionnelle avec du sens, et en utilisant son 6e sens, il est important de savoir en quoi vous voulez rendre le monde meilleur.
Brainstormez après la vidéo, et partagez vos réponses ci-dessous.

Ma réponse_ Cela peut paraître abstrait dit ainsi, mais ce serait très probablement de l’ordre de la reconnexion à la Joie, comme un retour à un essentiel vital. La joie telle le secret dévoilé de l’éternité. Si je devais n’avoir qu’un message , ce serait « Amusez-vous« .
Quant à « sous quelle forme » se dessinerait cette activité, je l’ignore. Je ne suis pas animatrice (bof, pas tentée), ni thérapeute… Paumée en recherche! _suis trop dans l’éther, zéro pointé dans la matière… _

(4 personnes ont « liké »
et une à commenté   C’est loin d’être abstrait c’est au contraire un excellent ingrédient la Joie ; s’amuser, ne pas se prendre au sérieux tout en étant consciencieusement professionnel.
Progresser avec légèreté ce n’est pas flotter à la surface des choses, ce n’est pas être simpliste, c’est transformer « l’insoutenable légèreté de l’être » en « Plaisanterie ».
Ma foi, ce programme me plait…
)

…à suivre…

 

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Try again …

Encore un post ce jour, comme pour rattraper un peu le temps, comme pour avancer un peu plus efficacement…

En ce mercredi 26 avril de Nouvelle Lune providentielle, je lis, écoute, marche, ris dans la rue comme une éberluée en repensant à un merveilleux surprenant souvenir suffisamment marquant pour être archivé dans un répertoire de rappels de moments exaltants.

J’écoute une coach, en lit une autre, dont cette quadragénaire témoignant de sa chance que son fils la reconnaisse surref’ comme elle.

Lire, noter, comme si je reprenais chaque matin depuis le début ma quête et mes recherches. Comme si cela rentrait par une oreille et était ressorti par une autre, comme si tout n’était que petite occupation (je nomme cela des jeux de billes) parcequ’en vérité l’Univers aurait déjà tout prévu à notre place.

Ainsi, je survole l’interview de cette personne, et pointe ses propos: « (mes clients) veulent trouver une activité professionnelle qui soit plus en phase avec leurs aspirations profondes et ne se reconnaissent plus dans celle qu’ils pratiquent ». Pour les y aider, elle pointe plusieurs points et annotations synthétisées ici :

  • le quoi/comment : cela concerne l’exercice-même du métier : la façon dont on le pratique, les cas où les compétences sont sur- ou sous-exploitées, l’ennui ou le surmenage, l’impression d’avoir fait le tour du job, etc.
  • le « pour quoi »,  permettant d’évoquer la cohérence, l’adéquation entre l’activité et la personne
  •  le « avec qui » c’est-à-dire l’aspect relations humaines : soucis avec un manager, un collègue, un client voire un fournisseur, qui se traduisent parfois par un véritable enfer au quotidien. Et souvent, l’inconfort ressenti provient d’un mix de ces trois sources.
  • état des lieux de ses compétences et de ses aspirations
  • trouver suite à une quête de sens, grâce à un travail de connaissance de soi approfondi, établir un diagnostic de ses aspirations afin de trouver un métier en phase avec la vision que la personne a du monde.
  • en développant ses compétences, modifier son organisation : tout ceci implique de se rendre visible, de parler de ses souhaits
  • Réexaminer ses peurs.Faire quelque chose qui rende fier est essentiel.
    « Quand on décide de prendre soin de son besoin de changement et de ne plus le subir, quand on s’attache à le comprendre et à l’affronter, on ne peut qu’aller mieux »

    Ok j’ajoute tout cela à mes recherches.
    J’en suis encore à un travail de connaissance de Soi approfondi.

Même si je liste ce qui m’est facile (par exemple : écrire, ou blablater) ai-je envie d’être écrivain, auteur? Je n’en sais rien. Toujours est-il qu’à lire le parcours de Lyvia, (j’ai toujours des dizaines de lettres en retard à lire…) je comprends qu’il faut expérimenter pour savoir si on aime, si on veut faire ça ou ça.

Autrement dit rester à potasser chez moi m’instruit, certes, mais ramer aussi.
Au final je pourrai être veilleuse web et élaboratrice de telles synthèses de modules ou axes de travail que je trouverai ça cool d’être un jour rémunérée pour être moi. En effet.

J’aime bien l’approche d’Odile aussi. Ludique et synthétique, le fruit de beaucoup de travail donc.

Ce matin j’ai tenté d’écrire des rêvasseries à propos d’un lumineux, joyeux, vivifiant centre de danse, mais cela me pousserai à potasser la compta que je déteste, c’est donc incohérent. Glaner et élaborer un patchwork fantaisiste, semble être un début; comme un scrapbooking carnet de rêves.

Travaillotter dans un lieu qui y ressemble pourrait être instructif : un centre de danse? un ghesthouse? Je ne suis pas certaine-certaine.

J’espère trouver une personne qui me conviendra pour défricher et cerner ce pour quoi je suis véritablement faite, à défaut de l’expérimenter dans la matière par des expériences-test.

J’ai déjà été prof de français à domicile, ça m’avait saoulé : de devoir bosser plus dûr qu’un prof qui avait déjà tous ces programmes de faits, d’avoir un public d’enfant un peu pourri gatés sans beaucoup de talent faute d’avoir appris à s’amuser (et donc à travailler), d’avoir l’impression d’avoir plus buché moi que l’élève en question…
Il était pourtant bien là question d’expérimentation de transmission de quelque chose, mais je n’y ai pas vraiment pris de plaisir au point de me dire « wah c’est ça que je veux faire« , d’autant que je me retrouvais dans le rôle du vieux sage (pour ne pas dire vieux c**)  confrontée à un programme scolaire pas des plus intelligent.

Etre salariée, c’est être dans une planque nourricière, mais aussi enfermante.
Proposer un service suffisamment chèrement facturé pour ne pas être rongé par le travail, est au contraire on ne peut plus gratifiant. Encore faut-il trouver son quoi/pourquoi/pour qui et savoir le définir.

Parfois je me dis

En fait je suis une reconnecteuse à la vibration de joie et d’essence de vie éternelle.
J’aide les gens à retrouver, et focaliser sur leur essentiel perdu : rire. S’amuser.

Comment?
ça, je ne le sais pas encore.
Ecriture? Conférence? vidéos? Cours de jeux dansés chantés?

Pour qui?
Je le sais encore moins. Disons que cela viserait davantage les personnes qui n’osent pas, ont tendance à s’effacer, mais bouillonnent d’un riche potentiel.

 

 

Enfin je crois…
En tout cas merci encore Jenna, Thomas, Lyvia, Ophélie, Ozalée, Odile, Marjorie, Flora… qui m’aidez énormément à m’aligner sur ma voie, l’air de rien, moi qui me suis laisser portée par le vent pendant ces 9-10 dernières années….

A suivre…

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Quand je lis pour avancer…

Ce jour,  je lis Lyvia. ses conseils « pour y arriver dans l’entrepreneuriat ». Je lis et je prends note comme si j’étais en formation. Et jai moult newsletters et rediffusions à rattraper.

« …Décidez de votre intention et de là où vous voulez aller et ayez la confiance que vous y arriverez. (Faites comme si c’était déjà là)… »
 
…et je me retrouve à la case départ.
J’étudie tout cela pour prendre de l’avance, savoir pour le moment où je saurai.
Ben nan.
Je ne sais toujours pas à quoi je sers, ce qui m’amuse de faire, en quoi je peux répondre à la rsolution d’un problème de quelqu’un qui me kifferai tellement qu’il viendrait à moi direct sans que je n’ai à me survendre, ben oui, question de clarté, alignement, fidélisation dans le dialogue quoi.
 
 
C’est comme si je glanais moult pièce de puzzle fort intéressant sans le paysage premier : moi. qui je suis, quel service ou aide puis- apporter, à qui, mon client idéal est-il mon profil en miroir? oui mais si des comme moi je n’en trouve même pas dans la vie normale, commen vais-je les trouver dans le business? A moins que cela ne débute d’abord par le business, ensuite par la vie privée?
Après tout j’observe moult solo-entrepreuneurs(ses) être potes à la ville.
 
Donc je me sens toujours comme dans un « reset », je lis, je prends note, j’écris, je ponds, puis oh zut, je ne peux pas répondre à ce défi, je ne peux pas sollicite rtelle association d’aide aux femmes entrepreneures, je ne peux pas me payer cette formation :  il faut d’abord savoir qui on est et que le presta on vend prou le faire.
 
Grr.
 
je vais relever le défi de Marjorie Llombart concernant l’intuition.
 
car la mienne est faussée par un mental qui part dans tous les sens et une créativité débordante qui fait dire aux gens « tu devrais faire ceci », « pourquoi ne fais tu pas cela » et je ne me trouve que la qualité de trouveuse d’idées, mais pas de leur réalisation, pas mon truc. Pas toujours.
 
 
Puis
 
« …Chaque jour faites un action qui vous en rapproche, comme vous le sentez, dans le désordre. 

INTENTION et ACTION… »

 
Ok bon en imaginant que cela à avoir avec la danse, sa pratique, etc: je danse presque tous les jours dans ma cuisine, et je potasse autant que faire se peux:

j’en déduis que depuis le temps, mes actions sont obsolètes, ou alors mon intention peu déclamée car rien ne bouge, aucun signe de guidance à l’horizon.

Je prends des notes, je prends des notes, et bing, j’en reviens à ce point de départ bloqué: « il faut se montrer »

ah. Oui. Forcément.
Je triche, là.
 

Moi qui ai un profil fbk anonyme uniquement pour puiser informations culturelles, cachée pour me protéger de personnes malveillantes et/ou toxiques, ai-je véritablement envie de sortir de ma tanière?
Et donc refuser les contacts succins superficiels avec tout un réseau?
Est-ce que je suis prête à réapparaître véritablement, tel un aveu d’avoir menti à tout ceux à qui je dis « non je n’utilise pas fbk à des fins personnelles » qu’ils interprètent par « je n’ai pas fbk »
 
 
Et ô combien même j’apparaîtrais… ce serait un mix de vie personnelle et professionnelle; pas intéressant puisque jusqu’à présent j’essaie dépurer tout ce qui est chronophage, malsain.
 
En fait je réalise que l’adage « pour vivre heureux, vivons caché » n’est pas compatible avec le solo-entrepreuneuriat.  😦
 
J’ai réussi à préserver ma passion pour les danses en dépit de personnes malveillantes et toxiques donc, toutefois je n’ai pas réussi à réapparaître en ligne.
Et il y a trop de personnes que je n’aime pas assez pour me reconnecter avec.
Peut-être est-ce moi donc, qui suis carencée en amour. Encore.
Peut-être ai-je encore beaucoup à faire pour m’auto-nourrir en abondance et ne pas me vider au contact d’autrui.
Encore. Phhffhhh
Comment débloquer tout cela…
Mettre mon nom, une photo sur un réseau social me semble plus proche du mal- être que du bien être, alors où et comment me situer…
Je continue. Je continue de lire, visionner. Un jour cela tiltera.
 

Cela peut paraître incongru de lire et étudier au lieu de jouer et passer à l’action. Jouer pour trouver sens aux choses, passer à l’action pour entrer dans la vie et le monde.

Si je ne veux faire que ce qui me plait… Plus je cherche à lister par écrit pour élaguer et aller à l’essentiel, plus tout s’élargit et va au « je ne sais pas, je ne sais plus… trop de choses… donc rien. »

Lire pour avancer peut paraître un non sens. Pour avancer on met un pied devant l’autre et on crée ce mouvement. Ou on pédale. On ne reste pas derrière un écran.
Affaire à suivre…
 

…Faire des ricochets

Ce matin au réveil, une musique en tête. Quand cela dure un peu, j’interprète cela comme un message de mes guidances, alors « j’écoute mieux ».

Je reconnais un refrain :

« Je     n’veux pas …..er,          Je          n’veux pas  ..é…er »    (verbe non entendu clairement) puis
« faire des ricochets! faire des ricochets! »

qui est en fait cette chanson.

les paroles, donc, dont je retiens quelque propos

« J’aurais pu être un môme
Un bout’chou qui sourit
Et se foute d’être mouillé
Comme de la dernière pluie
Mais ici y’a pas d’eau
Qu’un ciel en sentinelle
Qui ne cesse de peser
Sur nous comme un enfer
Moi ce que je voulais c’est jouer
Mais pas avec ma vie
Je vous regarde verser
Des larmes qu’on a plus ici
Moi ce que je voulais c’est danser
Pour faire tomber la pluie
Et je vous regarde creuser
La Terre met pas des puits
Je n’veux pas l’aumône
Je n’veux
pas déranger

Mais juste un peu d’eau
Pour faire des ricochets
Faire des ricochets
J’aurai pu être un môme
Comme un autre qui grandit
Sans avoir à scruter
Un ciel qui vous oubli
J’demande pas un ruisseau
Encore moins une rivière
Je veux seulement jeter
Des bouteilles à la mer
Moi ce que je voulais c’est jouer
Mais pas… »

Je ne sais pas encore quel message m’est envoyé par « faire des ricochets »,
sachant qu’il y a toujours humour et jeu avec les homophonies.
« faire des « ris, cocher!  »     (le cocher, le meneur de voiture à cheval) ?

je ne vois pas d’autres jeu de mots.

Chaque matin est un renouveau, un contrat avec sa propre vie,
ici avec joie, bonheur, félicité.

Mes investigations se poursuivent… Puisque tout ou presque m’oriente vers la danse, mais que j’ignore comment en fait une activité plutôt qu’un (coûteux) loisir, je songeais essayer et découvrir la Biodanza
A suivre…

 

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Aller où vont nos pieds…

Il m’a tant été conseiller de diffuser, partager, transmettre, oui mais quoi? Alors il faut commencer quelque part ! Sans réfléchir, Hop, vas-y !

En ce lumineux printemps 2017, j’aime beaucoup les voix douces et réconfortantes de Jenna Blossoms, Farah de Ozalée, Thomas Marcilly sur radio médecine douce. M’accompagner moi-même d’un entourage, certes indirect, doux.
Depuis 2 ans, plus personnellement, c’est Ophélie d’Ofessens qui m’encourage.

Elle m’encourage, comme d’autres aussi, à être Soi, donc être moi, à transmettre. C’est un « indice » de ce que pourrait -être le sens de ma vie, ma mission de vie, ou vocation, que sais-je.

En réalité je suis très bavarde telle une conférencière ponctuant ses bavardages de blagues ou clowneries, j’énumère mes trucs et astuces, bonnes adresses, contacts intéressants… Parfois je suis un peu embêtée ou exhaspérée de ne pas être écoutée, quand il s’agit d’une vraie solution à un problème. Je dois encore apprendre le lâcher-prise, considérer avec recul instantané que tout ne convient pas à tout le monde à l’instant T, que chacun à son chemin propre et juste, que ce qui est bien pour l’un aujourd’hui ne l’est pas forcément pour l’autre au même moment, mais parfois pus tard. Ou pas du tout et ce n’est pas grave.

Je vous écrit en écoutant radio médecine douce.

Je vis au jour le jour en slalomant devant les obstacles ou freins que peuvent être les angoisses de demain, du non-faire au bénéfice du « être », je ne suis pas convaincue de me sentir pleinement là et complète, entière, j’avance autant que faire se peut dans cette optique.
En privilégiant le simple rapide et efficace. Genre « tu veux être heureux(se)? Ok. Sois -le« .

Quand on ne sait pas beaucoup beaucoup qui on est, juste un petit peu, c’est déjà beaucoup.
Quand on ne sait pas où aller… mettre un pied devant l’autre c’est déjà créer ce mouvement d’enclencher le voyage.

Même si on en a marre de « travailler sur soi depuis des années » avec des aides ou coaching ou thérapies en tout genre !
Beaucoup diront (dont Ophélie précédemment citée) : maintenant on est Libre.
Libre de créer sa vie, son bonheur entre autre.
Ok. Super.
Ben j’suis encore probablement un tantinet trop dispercée; j’écoute des webinaires pertinents, étudie seule sans accompagnement.
D’ailleurs ce n’est pas bien. Accompagnée c’est mieux. J’ai juste pas trouvé encore.

Je lis avec prise de notes assidues Lyvia. Et j’ai au moins 20 jours de retard, car elle publie presque quotidiennement et la lire en conscience, intégrer, vouloir faire bouger les choses, dans mon cas personnel, nécessite la prise de notes, comme pour intégrer, m’auto-programmer; il ne suffit pas de penser « oui c’est super pertinent, vrai, puissant, ce qu’elle dit« , mais intégrer dans la matière, le vivre dans ma vie !

Pas mince affaire. D’où mes prises de notes manuscrites, à la main, même si beaucoup de propos se répètent chez les uns ou les autres que je lis: je les réécris encore et encore, jusqu’à ce que cela entre dans ma vie, et non plus juste en une logique mentale acquiescée , inerte, uniquement théorique.
En gros, là, je fais l’apologie du carnet papier et du stylo bille. Voire du Bullet Journal qui me parait être un outil révolutionnaire de bien-être, réussite, et accomplissement personnel. Jusque dans le magico-puérile geste de colorier mes titres au crayon de couleur : le BuJo a aussi sa dimension mandala zénifiant.

De toutes mes recherches, mes trouvailles favorites portent sur le simple-rapide-efficace: le genre à faire seul, avec son corps, sans nécesssiter d’acheter ou payer quelque chose.

Je suis ma propre boite à outils. 
Et Lyvia le dit à sa manière, son mantra est  « être toi suffit« . J’adore cette divine phrase. Divine, car Dieu se dit Yahvé, Yahvé se traduit par « Je suis« .

Arrêtons de chercher ailleurs les copains, c’est en nous que le Graal est caché.
Il n’y a pas que moi qui le dit, plein de gens éclairés et plutôt sereins aussi.

Reste l’autre partie du jeu : Ok, tout est en moi, et ce qui se dit « être dans l’alignement d’âme« , c’est incarner ses rêves, sa passion, écouter son intuition, ou en tout cas ce (tout ce) qui nous mets en joie, nous fait vibrer fondamentalement. Ok. Admettons que j’ai débroussaillé les alentours, et que ce soit encore flou.
Les arts, l’écriture, la danse…? Ok… next step please?
Enseigner ou coacher est-il la seule option? Mon vibromètro-coeur ne me renseigne pas suffisament pour que j’en sois certaine, et le trouillomètre craint via le mental qui dit « ok si c’est ça, alors il faut… » (se former, prendre un statut, etc) et là les programmes limitants du syndrôme de l’imposteur aka surref’ rappliquent.

J’adore le jeu de Lyvia (car simple rapide et efficace!) :
Tu es en train d’embarquer dans une fusée pour un voyage super dans l’espace, sauf que tu ne sais pas si tu reviendras sur Terre. Un(e) journaliste te tapote sur l’épaule et te demande au micro « une dernière phrase, un dernier message avant de partir svp? »              BAM.             Qu’est-ce qui sort?
Ben moi, ce fut sans hésitation « Amusez-vous!« 
Il s’agit là du message de mon âme, de mon pourquoi, celui que tous les accompagnants peuvent se turlupiner à dégoter pour la personne qui leur demande cette aide à trouver quoi comment où hein quoi dans quel état j’ère.

Ok.

Ce « pourquoi », ce message peut se décliner en un zilliards d’activités allant de l’animation à l’ingénieurie de modules de jeux pour enfants en plein air en passant par la poésie à langage des oiseaux, ou sans.

Et puis j’ai potassé aussi le merveilleux et révolutionnaire travail de Flora Douville, qui aborde l’alignement d’âme par le vêtement, suite à un décodage du corps physique. Rayonnement de la peau, structure du squelette, mouvement dynamique du corps, soit toute notre identité physique détient les petits secret du sens de notre vie. En gros, pas de mystère, notre CNI se voit, offerte, postée en vitrine, si on sait la décoder.

Ainsi, selon cette science (de l’Univers, ouai) je suis de structure Ligne sous-jacent Cercle ressource Losange, de rayonnement Celes été argent doux, et de mouvement Air (…sous-jacent eau, ressource feu, et indice terre, mais ça c’est le plus délicat à cerner et j’ignore si j’en aurais la certitude un jour).

Toujours est-il que de ce constat, les grandes lignes disent que -décidément, la ligne-
je suis quelqu’un qui œuvre plus confortablement en solitaire telle le guide des autres, mais aussi en groupe, pour le bien du collectif dans l’intimité, et que je me ressource à 2, dans le lien du toi & moi.
Que ma motivation profonde en ce monde est d’apporter beauté, harmonie (« art mon nid »,  pas l’autre) épanouissement, et que mon mouvement corporel, ma manière de le vivre, incarner, poser dans le monde se fera avec liberté, rapidité ou fluctuance et légereté de l’air.
Et que si je parvient (youch!) à constituer une garde-robe respectant ces critères, alors ma force décuplera. Je l’indique au futur, car c’est en chantier. Et si ça se trouve, ben comme tout hein, y’en aura pour tout une vie.
En tout cas j’ai hâte de pouvoir dire « ah cette tenue à tout juste! » (coupe, tissus, teinte), car ce n’est pas encore le cas.
Ah oui, et aussi : que si je suis alignée ainsi, les conséquences seraient, si j’ai bien compris mais je n’en suis pas archi sûre : soin à autrui (indirectement donc).

Car on a tout en soi à des endroit différents, ce qui nous distinguent les uns des autres. Bah oui quand même.

Donc si je récapitule les indices de mon investigation,

– je suis plutôt une solitaire (solo-entrepreneuse en devenir plutôt que salariée semble-t-il, ou plus à l’aise en travaillant seule)
– le message de mon âme est « amusez-vous » ce qui est cohérent avec « apporter épanouissement, beauté » . Je tiens une piste ! Cela correspond avec le fait que je ne suis vraiment pas faite pour être thérapeute, je l’ai toujours dit, malgré certains encouragements et approbations de certaines qualités ou capacités.

Ah oui ! Parce qu’on peut avoir pléthore de compétences, talents, ou dons, et rester de marbre à l’idée de les utiliser.

Or, trouver sa mission de vie, mission d’âme, vocation professionnelle (désolée, je mets tout dans le même sac, même si d’autres font une distinction) n’implique pas de lister toutes les compétences où on est super fortiches experts. Nope. Ce serait presque trop facile, dis!        Nan.
Il faut vraiment réduire la liste à ce qui nous enthousiasme vraiment, qui fait ou fera sens, qui fera qu’on se lève à l’aube, avec la même joie qu’au départ des vacances à 3h du matin direction l’océan en sautant sur le lit et en criant « les cacances! les cacances ! » , et qui fait qu’on n’est jamais trop fatigué même après 12h d’activité car super joyeux(se) de ce que l’on fait…
A la condition de ne pas s’être égaré(e) en route, et de toujours faire une mise au point su les directions que l’on prend.
C’est ultra nécessaire si on ne veut pas se retrouver à la tête d’un truc super ennuyeux et stressant alors que le but initial était tout autre; le mental et les « il faut » sont de sacrés ‘déviateurs de route’ si je puis me permettre ce néologisme.    -J’aime bien néologismer-
Big challenge, n’est-ce-pas?

Ben toujours est-il que tout le monde devraient se challenger ainsi : la vie vaut la peine d’être vécue, particulièrement la sienne propre. Pas celle décidée par les autres ou des idées préconçues. N’attendons pas qu’un drame x ou y vienne réveiller nos consciences, un peu comme une de ces originales émissions de F.Lopez où des gens venaient témoigner d’épreuves terribles qui ont fait ressortir tout le sens de leur souhaits profonds d’âme.

On peut retrousser nos manches maintenant, il n’est jamais trop tard, il n’y a pas d’âge pour le faire, et aussi pour écouter les enfants en bas âge, qui eux, savent déjà leur propre kiff perso en général, les aider à ne pas les oublier ni s’oublier…

Donc j’avance pas à pas, un pied devant l’autre, et même si c’est un peu lent, le principal est que le mouvement soit…

A suivre…

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Extrait en partage (1) du Bal

Tiré du livre de Jeanne Hersch
« Temps alternés »  p.74
Editions Librairie de l’université de  Fribourg

(…) « C’est alors qu’eut lieu un bal de bienfaisance que mes parents aidaient à organiser. Ils m’y conduisirent. Un seul instant de cette soirée est resté dans ma mémoire, effaçant tous les autres.
Entre deux danses, j’étais debout près  d’une colonne et je regardais chatoyer la salle. Le bal était costumé; je portais moi-même un costume de paysanne polonaise avec de gros colliers et des rubans flottants. Partout des couleurs vives, que l’immobilité eut rendue intolérables, se rassemblaient et se dispersaient selon les mille harmonies que le hasard ébauche sans cesse dans une foule en fête. J’étais complètement absente de ma vie réelle, de tout ce qui comptait pour moi. Je n’attendais rien de ce bal. Aussi étais-je complètement présente pour les sensations, magiquement légères et déliées. Je jouissais de ce rien qui moussait en couleurs, en murmures, en mouvements, en désordre et sans heurt et sans poids. Certes tous ces hommes, toutes ces femmes pourraient danser sur des fils de soie sans jamais chanceler, dans un subtil équilibre de sourires. Il étaient ns de la lumière des lustres et s’effaceraient avec elle, sans veille et sans lendemain. Une griserie passait dans ma robe, dans mes cheveux, vers le pur plaisir, fleurissant sans dessein comme une arme inutile. Les pas de danse, ne vont nulle part sur le parquet ciré, pas sans traces, aucun sentier ne se creuse,  on peut repasser mille fois au même endroit il reste neuf, -on peut passer ailleurs, c’est le même, – méandres, un seul mouvement écrit et défait des figures perméables à d’autres figures… Une valse commença,  et alors je le vis. Ce fut d’un coup une image et une douleur, une image en pièce détachées, sa tête au-dessus d’une table, sur un fond de satin bleu ciel, près d’une tête de jeune femme à perruque blanche. Je m’appuyais de tout mon long contre la colonne, avec le sentiment que j’allais glisser, sombrer dans un trou énorme, éclatant, rempli de grimaces vermillonnées, pendant que la douleur, une douleur vraie, avec des veilles et des lendemains, prenait en grinçant possession de mon corps. Je dansai cette valse; je pasai devant lui, il vit et me salua.
Le reste de la nuit s’est effacé. Je sais seulement, sans en retrouver le souvenir vivant,  qu’il dansa avec moi deux fois. Comment se fait-il qu’il ne m’en reste aucune sensation nette? Peut-être l’équilibre des sourires s’était-il pour moi trop violemment rompu. Peut-être la douleur avait-elle aboli jusqu’à la réalité instantanée du monde du plaisir, si bien que tout ce que faisait mon corps m’était étranger, pendant qu’au fond de moi se martelait la seule certitude : il n’était pas malade, il aurait pu venir, il n’est pas venu, il a dit non, il dit « fini ». Peut-être aussi celui avec qui je dansai n’avait-il rien en commun avec celui que j’aimais et qui allumait des feux dans la montagne.
Il me sembla tout à coup que ce bal avait duré éternellement, que moi seule je venais d’y arriver; lui, il y avait toujours été, il s’y était toujours amusé, il s’y amusait pendant que mon angoisse le cherchait, en rentrant de l’école, à midi. Les petites filles rentrent de l’école, la serviette sous le bras; mais les grandes personnes s’amusent au bal, bien sûr, et toutes les dames ont des perruques blanches.
Peut-être aussi une sorte d’effroi m’a-t-elle empêchée de saisir ce qui passait; l’effroi d’être dans ses bras.
Celui que j’aimais répandait une lumière ardente qui écartait jusqu’en rêve le moindre contact. Qu’on pût ainsi s’approcher de lui, mettre la main sur l’épaule de son habit sans que quelque chose explosât dans l’univers dut rester pour moi inexplicable et irréel, un peu comme si un mannequin copie de moi dansait avec un mannequin copie de lui, du vrai Pierre qu’on regarde seulement passer, depuis des mois, chaque jour, de loin.
Il y avait d’ailleurs autre chose qu’un enfantillage dans cette crainte, et tu sais bien, toi mon Marc proche, mon Marc si souvent confondu avec moi-même, que je l’éprouve encore. L’amour n’est pas seulement ce qui  jette les êtres l’un vers l’autre, c’est aussi ce qui sépare, ce qui écarte. Je retrouve dans mes paumes cette incompréhensible peur de l’approche, quand le désir s’y répand en même temps qu’il envahit ta chair. Aucun mouvement n’est alors possible, si imperceptible soit-il, qui n’aille vers toi, e désir nous multiplie à l’infini, si bien qu’il n’y a plus rien au monde en dehors de toi et moi. Cependant le désir lui-même fait irradier de ton corps une présence à distance, une flamme étouffée et retenant sa chaleur, tu deviens comme une braise sacrée défendue par son ardeur, et je n’ose plus qu’en tremblant la caresse que tout mon être te donne« . (…)
Chère Jeanne H,
nous ne nous connaissons pas, et quelques années et mondes nous séparent.
Si peu de choses.

Je relis cet extrait posé ici en partage, et en réflexion : si vous aviez continué à danser, pris conscience de la musique, musique qui aurait pu vous habiter bien plus intensément que l’absence, le vide, l’illusion de séparation qui vous a bouleversée en apercevant un être charismatique, probablement habité d’une mystérieuse joie, alors vous ne vous seriez pas perdue dans une souffrance, fut-elle affective, émotionnelle, physique ou spirituelle.

Vous auriez compris dans votre chair que ces « désirs », besoins ou autres sensation de vous sentir vivante n’était qu’un retour à vous même, et que cet exceptionnel autre vous faisait miroir.

Ce n’était pas un Rendez-Vous avec le manque, ni avec un être idéalisé.
Les feux ardents de vos paumes, vos transports si délicatement décrits, furent réels, mais l’origine différente de ce que vous croyiez.
Dans l’illusion de vous séparée de vous même, dans l’expérience de la vie sur Terre, vous, être divin faisant l’expérience de l’humain, mémoire effacée, avez cru devoir votre salut à l’autre masculin. Certes il était bien question de Réunification, mais…

Chère Jeanne qui ne lira jamais cette note, cher vous tous qui pouvez la lire, songez-y.

Ce que vous croyez n’est pas. Ce que vous ne soupçonnez qu’à peine, est.

Laissez-vous inviter par la musique, en solo ou en duo, comme une invitation au voyage, sur le même précepte que « le bonheur n’est pas une destination, mais un chemin et une manière de voyager » (de Margaret Lee Runbeck?) et votre corps vous le hurlera.

Bien à vous

 

Article suivant Aller où vont nos pieds…

et aujourd’hui…

Bonjour-Bonsoir,

Hum, voilà, pour plus prosaïque présentation,
je suis entre autre une surref’ forcément intéressée par plein de choses
et le vit parfois concrètement dans la matière, par exemple : les danses.
Solo ou sociales.

Cela m’a fait voyager et rencontrer des personnes inoubliables.
J’espère que cela continuera.
Si vous saviez l’essentielle essence à Soi que l’on ressuscite dans le mouvement, par la musique -ou par le mouvement, dans la musique, à votre guise- agrémenté de sourires de plaisirs remontés en surface…

{ A ce propos connaissiez vous l’orgasme musical aussi nommé de peau?
Au moins vous n’aurez pas perdu votre temps à lire cette note, c’est cool. }

Je parle également ce que j’appelle le charabia, comme ici,  que d’autres appellent plus sérieusement langage de lumière, ou langage des étoiles, ou voix libre, ou…
Ok, s’il fallait un mot plus poétique que charabia, j’opterai pour le patois des étoiles (et faites de beaux rêves) toujours est-il qu’il n’y a pas, et vous ne trouverez probablement pas, de traduction mentale à cela, pas la peine de chercher via un shazam-translator.
Euh… si vous trouviez, passez toujours? Merci. Les cordonniers sont…

Chacun perçoit et/ou capte à son écoute ce qui lui convient.
Il y a des personnes qui aiment, et à qui cela fait du bien, c’est déjà énorme.

J’ose en déduire hypothétiquement que tout le monde peut se reconnecter à son propre charabia intérieur, et débuter à émettre en voix parlée.

Pour ceux qui le peuvent, tout seul en voiture dans un premier temps c’est bien.
Chanter aussi. J’appelle ça la voiture-thérapie, ou l’auto-thérapie.
_Ha-Ha-Ha_
Hé oui, scoop du jour, on se gai-rit soi-même.
C’est toujours mieux que se Soi-Nié, à chacun son truc.

Riez…C’est simple rapide et efficace, donc carrément intéressant.
Charabiater, révéler sa propre identité, toujours sans passer par le mental bien sûr.
Eh bien voilà : débrouillez-vous avec ça.

Potes en ciel, salut
😉