Il m’a tant été conseiller de diffuser, partager, transmettre, oui mais quoi? Alors il faut commencer quelque part ! Sans réfléchir, Hop, vas-y !
En ce lumineux printemps 2017, j’aime beaucoup les voix douces et réconfortantes de Jenna Blossoms, Farah de Ozalée, Thomas Marcilly sur radio médecine douce. M’accompagner moi-même d’un entourage, certes indirect, doux.
Depuis 2 ans, plus personnellement, c’est Ophélie d’Ofessens qui m’encourage.
Elle m’encourage, comme d’autres aussi, à être Soi, donc être moi, à transmettre. C’est un « indice » de ce que pourrait -être le sens de ma vie, ma mission de vie, ou vocation, que sais-je.
En réalité je suis très bavarde telle une conférencière ponctuant ses bavardages de blagues ou clowneries, j’énumère mes trucs et astuces, bonnes adresses, contacts intéressants… Parfois je suis un peu embêtée ou exhaspérée de ne pas être écoutée, quand il s’agit d’une vraie solution à un problème. Je dois encore apprendre le lâcher-prise, considérer avec recul instantané que tout ne convient pas à tout le monde à l’instant T, que chacun à son chemin propre et juste, que ce qui est bien pour l’un aujourd’hui ne l’est pas forcément pour l’autre au même moment, mais parfois pus tard. Ou pas du tout et ce n’est pas grave.
Je vous écrit en écoutant radio médecine douce.
Je vis au jour le jour en slalomant devant les obstacles ou freins que peuvent être les angoisses de demain, du non-faire au bénéfice du « être », je ne suis pas convaincue de me sentir pleinement là et complète, entière, j’avance autant que faire se peut dans cette optique.
En privilégiant le simple rapide et efficace. Genre « tu veux être heureux(se)? Ok. Sois -le« .
Quand on ne sait pas beaucoup beaucoup qui on est, juste un petit peu, c’est déjà beaucoup.
Quand on ne sait pas où aller… mettre un pied devant l’autre c’est déjà créer ce mouvement d’enclencher le voyage.
Même si on en a marre de « travailler sur soi depuis des années » avec des aides ou coaching ou thérapies en tout genre !
Beaucoup diront (dont Ophélie précédemment citée) : maintenant on est Libre.
Libre de créer sa vie, son bonheur entre autre.
Ok. Super.
Ben j’suis encore probablement un tantinet trop dispercée; j’écoute des webinaires pertinents, étudie seule sans accompagnement.
D’ailleurs ce n’est pas bien. Accompagnée c’est mieux. J’ai juste pas trouvé encore.
Je lis avec prise de notes assidues Lyvia. Et j’ai au moins 20 jours de retard, car elle publie presque quotidiennement et la lire en conscience, intégrer, vouloir faire bouger les choses, dans mon cas personnel, nécessite la prise de notes, comme pour intégrer, m’auto-programmer; il ne suffit pas de penser « oui c’est super pertinent, vrai, puissant, ce qu’elle dit« , mais intégrer dans la matière, le vivre dans ma vie !
Pas mince affaire. D’où mes prises de notes manuscrites, à la main, même si beaucoup de propos se répètent chez les uns ou les autres que je lis: je les réécris encore et encore, jusqu’à ce que cela entre dans ma vie, et non plus juste en une logique mentale acquiescée , inerte, uniquement théorique.
En gros, là, je fais l’apologie du carnet papier et du stylo bille. Voire du Bullet Journal qui me parait être un outil révolutionnaire de bien-être, réussite, et accomplissement personnel. Jusque dans le magico-puérile geste de colorier mes titres au crayon de couleur : le BuJo a aussi sa dimension mandala zénifiant.
De toutes mes recherches, mes trouvailles favorites portent sur le simple-rapide-efficace: le genre à faire seul, avec son corps, sans nécesssiter d’acheter ou payer quelque chose.
Je suis ma propre boite à outils.
Et Lyvia le dit à sa manière, son mantra est « être toi suffit« . J’adore cette divine phrase. Divine, car Dieu se dit Yahvé, Yahvé se traduit par « Je suis« .
Arrêtons de chercher ailleurs les copains, c’est en nous que le Graal est caché.
Il n’y a pas que moi qui le dit, plein de gens éclairés et plutôt sereins aussi.
Reste l’autre partie du jeu : Ok, tout est en moi, et ce qui se dit « être dans l’alignement d’âme« , c’est incarner ses rêves, sa passion, écouter son intuition, ou en tout cas ce (tout ce) qui nous mets en joie, nous fait vibrer fondamentalement. Ok. Admettons que j’ai débroussaillé les alentours, et que ce soit encore flou.
Les arts, l’écriture, la danse…? Ok… next step please?
Enseigner ou coacher est-il la seule option? Mon vibromètro-coeur ne me renseigne pas suffisament pour que j’en sois certaine, et le trouillomètre craint via le mental qui dit « ok si c’est ça, alors il faut… » (se former, prendre un statut, etc) et là les programmes limitants du syndrôme de l’imposteur aka surref’ rappliquent.
J’adore le jeu de Lyvia (car simple rapide et efficace!) :
Tu es en train d’embarquer dans une fusée pour un voyage super dans l’espace, sauf que tu ne sais pas si tu reviendras sur Terre. Un(e) journaliste te tapote sur l’épaule et te demande au micro « une dernière phrase, un dernier message avant de partir svp? » BAM. Qu’est-ce qui sort?
Ben moi, ce fut sans hésitation « Amusez-vous!«
Il s’agit là du message de mon âme, de mon pourquoi, celui que tous les accompagnants peuvent se turlupiner à dégoter pour la personne qui leur demande cette aide à trouver quoi comment où hein quoi dans quel état j’ère.
Ok.
Ce « pourquoi », ce message peut se décliner en un zilliards d’activités allant de l’animation à l’ingénieurie de modules de jeux pour enfants en plein air en passant par la poésie à langage des oiseaux, ou sans.
Et puis j’ai potassé aussi le merveilleux et révolutionnaire travail de Flora Douville, qui aborde l’alignement d’âme par le vêtement, suite à un décodage du corps physique. Rayonnement de la peau, structure du squelette, mouvement dynamique du corps, soit toute notre identité physique détient les petits secret du sens de notre vie. En gros, pas de mystère, notre CNI se voit, offerte, postée en vitrine, si on sait la décoder.
Ainsi, selon cette science (de l’Univers, ouai) je suis de structure Ligne sous-jacent Cercle ressource Losange, de rayonnement Celes été argent doux, et de mouvement Air (…sous-jacent eau, ressource feu, et indice terre, mais ça c’est le plus délicat à cerner et j’ignore si j’en aurais la certitude un jour).
Toujours est-il que de ce constat, les grandes lignes disent que -décidément, la ligne-
je suis quelqu’un qui œuvre plus confortablement en solitaire telle le guide des autres, mais aussi en groupe, pour le bien du collectif dans l’intimité, et que je me ressource à 2, dans le lien du toi & moi.
Que ma motivation profonde en ce monde est d’apporter beauté, harmonie (« art mon nid », pas l’autre) épanouissement, et que mon mouvement corporel, ma manière de le vivre, incarner, poser dans le monde se fera avec liberté, rapidité ou fluctuance et légereté de l’air.
Et que si je parvient (youch!) à constituer une garde-robe respectant ces critères, alors ma force décuplera. Je l’indique au futur, car c’est en chantier. Et si ça se trouve, ben comme tout hein, y’en aura pour tout une vie.
En tout cas j’ai hâte de pouvoir dire « ah cette tenue à tout juste! » (coupe, tissus, teinte), car ce n’est pas encore le cas.
Ah oui, et aussi : que si je suis alignée ainsi, les conséquences seraient, si j’ai bien compris mais je n’en suis pas archi sûre : soin à autrui (indirectement donc).
Car on a tout en soi à des endroit différents, ce qui nous distinguent les uns des autres. Bah oui quand même.
Donc si je récapitule les indices de mon investigation,
– je suis plutôt une solitaire (solo-entrepreneuse en devenir plutôt que salariée semble-t-il, ou plus à l’aise en travaillant seule)
– le message de mon âme est « amusez-vous » ce qui est cohérent avec « apporter épanouissement, beauté » . Je tiens une piste ! Cela correspond avec le fait que je ne suis vraiment pas faite pour être thérapeute, je l’ai toujours dit, malgré certains encouragements et approbations de certaines qualités ou capacités.
Ah oui ! Parce qu’on peut avoir pléthore de compétences, talents, ou dons, et rester de marbre à l’idée de les utiliser.
Or, trouver sa mission de vie, mission d’âme, vocation professionnelle (désolée, je mets tout dans le même sac, même si d’autres font une distinction) n’implique pas de lister toutes les compétences où on est super fortiches experts. Nope. Ce serait presque trop facile, dis! Nan.
Il faut vraiment réduire la liste à ce qui nous enthousiasme vraiment, qui fait ou fera sens, qui fera qu’on se lève à l’aube, avec la même joie qu’au départ des vacances à 3h du matin direction l’océan en sautant sur le lit et en criant « les cacances! les cacances ! » , et qui fait qu’on n’est jamais trop fatigué même après 12h d’activité car super joyeux(se) de ce que l’on fait…
A la condition de ne pas s’être égaré(e) en route, et de toujours faire une mise au point su les directions que l’on prend.
C’est ultra nécessaire si on ne veut pas se retrouver à la tête d’un truc super ennuyeux et stressant alors que le but initial était tout autre; le mental et les « il faut » sont de sacrés ‘déviateurs de route’ si je puis me permettre ce néologisme. -J’aime bien néologismer-
Big challenge, n’est-ce-pas?
Ben toujours est-il que tout le monde devraient se challenger ainsi : la vie vaut la peine d’être vécue, particulièrement la sienne propre. Pas celle décidée par les autres ou des idées préconçues. N’attendons pas qu’un drame x ou y vienne réveiller nos consciences, un peu comme une de ces originales émissions de F.Lopez où des gens venaient témoigner d’épreuves terribles qui ont fait ressortir tout le sens de leur souhaits profonds d’âme.
On peut retrousser nos manches maintenant, il n’est jamais trop tard, il n’y a pas d’âge pour le faire, et aussi pour écouter les enfants en bas âge, qui eux, savent déjà leur propre kiff perso en général, les aider à ne pas les oublier ni s’oublier…
Donc j’avance pas à pas, un pied devant l’autre, et même si c’est un peu lent, le principal est que le mouvement soit…
A suivre…
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